Décrivez votre vie dans un univers parallèle.
Et si notre monde fonctionnait autrement ?
Dans un univers parallèle, je ne suis pas formateur en horticulture. Ou plutôt… je le suis encore, mais dans un monde où les plantes ne sont pas simplement cultivées : elles nous parlent, nous nourrissent, nous soignent, nous guident.
Ici, chaque technicien horticole est aussi un interprète végétal. Mon métier consiste à lire les émotions des fougères, à écouter le silence d’un érable, à décoder les signaux bioélectriques des vivaces. Plus besoin de capteurs connectés : nos outils sont nos mains, nos oreilles, notre présence.
Une société enracinée
Dans cet univers, les villes ont été conçues autour de grands arbres-mères, les « centrales sylvaniques », qui abritent à la fois les archives vivantes du savoir, des réseaux de transport végétal (les lianes-express), et les écoles de germination pour les jeunes humains et plantes.
On ne parle plus de permaculture ou de PBI comme de solutions innovantes : c’est la norme. Toute production est pensée en interrelation avec les espèces locales. Le terme « mauvaises herbes » n’existe pas. Les pucerons sont élevés avec soin pour accompagner la croissance des coccinelles. Le compost est une monnaie d’échange locale.
Et mon rôle là-dedans ?
Je suis chef de culture interspécifique : j’organise la cohabitation entre plantes, champignons, insectes et microclimats urbains. J’anime aussi des formations immersives pour jeunes pousseurs, les futurs horticulteurs, qui doivent passer un rite d’initiation : faire germer une graine rare sans aucune intervention mécanique, simplement en étant là.
Les ebooks ? Ils existent aussi… sauf qu’ils sont gravés dans des feuilles géantes par des coléoptères scribes. Mon dernier ouvrage ? “Émotions racinaires et communication mycorhizienne pour les nuls.”
Pourquoi t’en parler ?
Parce que même dans notre monde bien réel, les plantes nous parlent. Parce qu’imaginer d’autres formes de relations au vivant, c’est déjà commencer à les changer ici.
Et parce qu’il n’est pas nécessaire d’attendre un autre univers pour mieux cultiver notre lien au végétal. Chez Hortiformation, je t’aide à structurer ta production, à penser des gammes utiles, belles, résilientes, en respect avec le vivant.
Alors si tu veux apprendre à mieux lire le langage des plantes (même sans érable bavard), tu sais où me trouver 🌿
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