Être pépiniériste, c’est souvent bosser seul.e, au calme, entre les godets et les brouettes.
Et franchement, parfois, c’est bien.
Mais trop souvent, ça devient pesant. Silence, solitude, plus personne à qui poser une question ou partager une galère.
👉 Travailler seul, ce n’est pas forcément être isolé.
Encore faut-il s’en rendre compte… avant d’en souffrir.
1. Trouve ta tribu
Tu n’as pas besoin d’un bureau partagé, mais d’un petit cercle :
- d’autres producteurs,
- des collègues dans le coin,
- un groupe WhatsApp de pros.
💬 Parler de tes réussites, de tes ratés, de ton planning d’arrosage… ça te sort la tête de l’eau.
Et surtout, ça te rappelle que tu n’es pas seul.e à galérer.
2. Fais des vraies pauses
Pas une pause où tu continues à réfléchir aux semis.
Mais une pause qui coupe :
☕ un café avec un voisin,
📞 un appel à un collègue,
🚶♂️ une balade loin du tunnel.
🧠 Ces moments font du bien au moral et à ta concentration.
3. Forme-toi pour te connecter
Participer à des formations, salons, webinaires…
C’est bon pour tes compétences, mais aussi pour ton réseau.
Même derrière un écran, ça t’ouvre à d’autres regards, d’autres pratiques, d’autres pros.
🎓 Chez Hortiformation, je t’aide aussi à créer du lien, pas juste à accumuler du savoir.
4. Crée tes rituels sociaux
On n’attend pas que le lien vienne tout seul : on le programme.
🔁 Un appel fixe avec un ami producteur
☕ Un café mensuel entre voisins
🗓️ Une mini-visio hebdo entre solopreneurs
💡 Ces petites routines te donnent un cadre social régulier, même au cœur de ta pépinière.
5. Utilise le numérique… avec parcimonie
Les outils digitaux, c’est utile :
- pour rester en lien,
- pour organiser,
- pour partager.
Mais attention : pas de lien humain, pas de respiration.
Garde un équilibre entre WhatsApp et vraies rencontres. Les écrans ne remplacent pas une discussion face à face.
6. Tisse des partenariats locaux
Tu es peut-être seul dans ta pépinière, mais pas seul sur ton territoire.
Crée des ponts avec :
- paysagistes,
- maraîchers,
- jardineries,
- organisateurs de marchés.
🤝 C’est bon pour le moral et pour le chiffre.
7. Ta santé mentale compte aussi
🌿 Tu prends soin de tes vivaces ? Fais pareil pour ta tête :
- Fixe des horaires.
- Sors de chez toi.
- Fais une activité extérieure.
- Et si ça pèse trop : parle, consulte, partage.
Un bon pépiniériste, c’est un pro équilibré.
En résumé
Tu peux être seul.e dans tes rangs, sans être seul.e dans ta tête.
👉 Reste connecté.e.
👉 Entretiens ton réseau.
👉 Et surtout, autorise-toi à lever la tête de tes plants.
La pépinière, c’est du vivant. Toi aussi.
🎓 Dans mes formations et webinaires Hortiformation, on parle aussi de ça :
comment ne pas s’isoler, structurer son activité, et garder un rythme de travail humain, durable, joyeux.
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