Mes 10 certitudes en tant que formateur horticole indépendant

Créer Hortiformation n’a rien d’un hasard. C’est le fruit d’un parcours technique, d’expériences de terrain, de quelques tâtonnements, et surtout d’une volonté : transmettre. Si tu arrives ici, c’est peut-être que tu partages ce besoin de structurer, de comprendre, d’aller plus loin dans ta pratique horticole.

Voici 10 certitudes qui guident ma manière de travailler, de former et de construire ce projet au quotidien.



1.  L’horticulture est plus qu’un métier : c’est un terrain d’expérimentations

Depuis mes premiers pas sur le terrain, je suis convaincu que l’horticulture ne se résume pas à faire pousser des plantes. C’est un mélange d’observation, de rigueur et de curiosité permanente. Et cette passion-là, je n’ai pas l’intention de la garder pour moi.



2.  Il faut être concret, pas théorique

Je privilégie les outils simples, les méthodes claires, les exemples concrets. Une formation doit faire gagner du temps, pas en faire perdre. Tout ce que je construis vise à appliquer rapidement les connaissances sur le terrain.



3.  Ton temps est précieux. Le mien aussi.

Je structure mes journées, mes contenus et mes accompagnements de manière à aller à l’essentiel, sans négliger la qualité. Mon objectif : te permettre de progresser sans t’engluer dans des formations interminables.



4. Une entreprise doit rester viable

Je construis Hortiformation avec une exigence économique : celle d’en vivre. Cela passe par une offre lisible, des prix cohérents et une vraie réflexion sur le long terme. Je ne vends pas des formations pour cocher des cases, mais pour t’apporter de la valeur durable.



5.  La pédagogie est un levier, pas une option

Rendre un savoir accessible, ce n’est pas le simplifier à outrance. C’est le rendre intelligible, applicable, et motivant. Je travaille autant sur le fond que sur la forme pour que chaque formation ait un impact réel.



6. Tout commence par une bonne organisation

Planifier, structurer, prioriser : que ce soit pour gérer une culture ou monter une formation, l’organisation est une compétence centrale. C’est aussi un des premiers leviers que je transmets dans mes accompagnements.



7. Transmettre, ce n’est pas réciter

Je ne me vois pas comme un « prof ». Je préfère me placer comme un formateur impliqué, accessible, avec les deux pieds dans la terre. Chaque formation part d’un besoin réel, d’une problématique vécue, et propose des solutions concrètes.



8.  Le changement passe par les producteurs

Protection biologique, agriculture urbaine, autonomie technique… Ces sujets ne sont pas réservés à des pionniers. Ils concernent tous les producteurs. Et je crois que les petits projets, bien formés, peuvent faire émerger les transitions les plus solides.



9.  Se former, c’est se renforcer

Aucune exploitation ne tient longtemps sans montée en compétences. Une formation bien choisie, bien suivie, peut faire gagner des années. Je vois Hortiformation comme un outil de progression accessible, structuré et durable.



10.  Ce projet est en évolution constante

Comme une culture, Hortiformation grandit, se taille, se redirige parfois. Mais mes intentions restent fixes : être utile, transmettre avec justesse, et construire une structure solide, au service des professionnels de l’horticulture.



Si tu te reconnais dans tout ou partie de ces convictions, n’hésite pas à explorer les formations, à t’abonner à la newsletter, ou à me contacter. Ce projet, je le construis avec toi et pour toi.

À bientôt,
Clément – Hortiformation